Définition de scarification psychiatrique,artistique et sociale

Scarification sociale

La scarification sociale, que l'on observe le plus souvent sur les avant-bras de certains jeunes, est une incision superficielle de la peau. Il traduit souvent un malaise général chez une personne qui a réalisé cette marque dans le but de se faire mal, de montrer sa souffrance. Elle est aussi appelé, dans ce cas, auto-scarification. La plupart des jeunes pratiquant la scarification sociale ont énormément de peine a arrêté car cela libère une substance et procure un état spécifique pour chaque personne. En fait, au bout d'un certain temps à une certaine fréquence, cela devient une sorte de dépendance. Plus facile a arrêté que la cigarette, certe, mais pas facile pour autant. Il faut du temps, des amis prêts à vous aider vraiment et surtout beaucoup d'amour et de patience. Je ne dirai pas que prévenir les parents soit une excellente idée. Connaissant la réaction la plus courante que ceux-ci peuvent avoir, personnellement ça m'a plutôt enfoncé mais après chacun à sa propre façon de fonctionné et je ne peut donc pas vous dire exactement quoi faire en cas d'auto-mutilation. Certain des ados qui se mutillent vont parfois plus loin, certain ne font que de penser au sucide, d'autre essaient... Il sagit juste de se fixer des limites.

Scarification artistique

Mais il n'y a pas que la scarification sociale, il y a la scarification en tant qu'art corporelle. Elles n'ont rien à voir entre elles contrairement à ce que disent certaines personnes. C'est un art corporelle au même titre que les tatouages et les piercing. C'est une façon de modifié sont corps ou de le marqué. Bien sûr les scarifications de se type-la ne restent pas vraiment à vie sur la peau, on verra toujours les marques mais la cicatrice en elle-même s'effacera quelque mois plus tard tout dépend la profondeur et la manière dont on l'a fait. La plus répandue dans le milieu «amateur» et la plus facile à réaliser soi-même est bien sur celle appliquer avec un couteau ou une lame quelque conque.

Elle n'est pas sans danger.

 Si l'on sait de quoi l'ont parle l'on peut même arrivé à ne pas saigné en laissant tout de même une marque qui restera quelque jours. Mais les plus simple pour un beau résultat a la lame dans un endroit peut accessible à votre propre mains c'est bien sur de se faire faire un motif soit par un professionnel soit par quelqu'un qui sait bien de quoi il s'agit en tout cas suffisamment pour ne pas faire saigné la scarification. Mais la manière la plus utilliser dans le milieu «professionnel» est la brulure au cuivre rouge. Certaine personne doivent bien de dirent que sa doit faire affreusement mal, sûrement. Mais je ne peut pas vraiment vous dire vu que je n'ai pas encore d'expérience avec ce système... Un petit détaille qui peut devenir important suivant les personnes et surtout suivant la sensibilité des individus, c'est que l'anesthésie est interdite pour les professionnels comme les tatoueurs. Cette interdiction est valable pour toutes les modifications corporelles comme le piercing, le tatouage, l'implant ou justement la scarification.

Scarification Psychiatrique

Dans le genre de la scarification liée à un certain malaise, il y a plus grave, la scarification psychiatrique. Elle est plus grave que la scarification sociale car les personne deviennent alors malade.
Ces personne font souvent des allé
et retour à l'hôpital psychiatrique.
Les plus touchées sont les borderline
 qui sont des gens qui sont toujours
 à la limite de “pété un câble” mais
 quand ça arrive, même pour une
 bêtise, cela prend une dimension
 bien plus exagéré. Ce n'a s'arrête
 pas à partir, tout envoyé sur les
 roses et verser quelque larmes.
 C'est plutôt ce mordre, s'arracher en partie la peau et se mutilé par tout les moyens qui leur tombent sous la main. Ça peut être une lame, les ongles, les dents, les angle d'un paquet de cigarette, un crayon, du papier de verre ou même se frappé très violemment contre les mur ou le sol. Et ce qui est important à dire c'est que c'est toujours dans une partie bien délimité. Dans ce genre de situation aucun contrôle n'existe, autant par la personne qui en est victime que par des personne extérieur, parfois, les médecins et aides soignants spécialisés ne peuvent rien faire car ces crises sont tellement violente qu'aucune approche est possible. Mais la plus grande différence entre la scarification sociale et la psychiatrique c'est que la sociale touche uniquement les jeunes alors que la mutilation touche des personne de tout âge.


26/06/2009
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